Des auteurs français philhellènes se confrontent aux diverses langues grecques qui leur sont chères, anciennes ou modernes, soit à travers la traduction (Les Perses, Archiloque), soit à travers la rêverie géographique (Salonique), soit à travers l'hommage (Tsitsanis et Takhtsis), soit à travers la méditation (la Langue grecque comme pensée). À ces contributions d'écrivains, nous avons associé trois aperçus de ce que la culture démotique a produit de plus mystérieusement profond : un conte anonyme de l'époque ottomane, le monument des Mémoires de Macriyannis, le Théâtre d'ombres de Karaghiozis. |